Location Gite, Chambre d'hôte, salle de réception séminaire en Isère près de la Côte Saint-André proche Grenoble et Lyon

A l'emplacement des anciens hospices, il présente les vestiges complexes d'un quartier de la ville gallo-romaine : arcades d'un portique du forum, mur en grand appareil d'une salle d'assemblées municipales, maisons et terrasses aménagées.

Trésors archéologiques de Vienne

Vienne est une des villes les plus anciennes de la région. Il faut grimper sur les hauteurs de Pipet pour admirer, depuis ce belvédère aménagé dès le début de notre ère, un très beau panorama sur la cité, le Rhône en pleine majesté, les coteaux recouverts de vignobles prestigieux (Côte-Rôtie, Condrieu, Sotanum,...) et dans le lointain, au sud, au cœur  d'un Parc Naturel, le massif du Pilat.

Dès le V° siècle avant notre ère, quelques installations humaines sont observées grâce aux fouilles archéologiques récentes. Vers le III° siècle av. JC Vienne appartient au peuple gaulois des Allobroges dont elle devient ensuite la capitale. Mais c'est l'Empire romain qui fait sa gloire et sa richesse. De cette époque Vienne possède un patrimoine archéologique parmi les plus riches de France.

Les arènes de Vienne, Le théâtre antique

Ancré dans la colline de Pipet, à l'est du forum, le théâtre qui pouvait accueillir jusqu'à 12000 personnes (9000 aujourd'hui), s'étendait sur 115 mètres de diamètre nord-sud. L'orchestra (espace central) entouré de quatre gradins supportant autrefois des sièges de marbre à pieds de griffon, a conservé partie de son revêtement de marbre. Un parapet de pierre sépare cette partie réservée à l'élite de deux séries de douze et trente gradins, desservis par deux couloirs voûtés appelés vomitoria. Une terrasse ornée d'un portique surmontait le tout.

La nécropole

Des fouilles archéologiques menées de 1976 à 1984 au chevet de Saint-Pierre et à l'intérieur de Saint-Georges, ont permis d'étudier les structures anciennes (quartier gallo-romain, mausolées et cimetière du IVe siècle à la Révolution). L'oratoire Saint-Georges est cité pour la première fois au VIe siècle. Il est reconstruit à la fin du IXe et devient église paroissiale au XIe. Le chevet plat montre encore la fenêtre à lancettes (aujourd'hui obturée) due à l'agrandissement du XIIIe siècle

Jardin archéologique de Cybèle

A l'emplacement des anciens hospices, il présente les vestiges complexes d'un quartier de la ville gallo-romaine : arcades d'un portique du forum, mur en grand appareil d'une salle d'assemblées municipales, maisons et terrasses aménagées.